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L’Ascension du Christ: le Verbe fait homme pour l’éternité / Nathalie Requin in Nouvelle revue théologique, 139/2 (Avril -Juin 2017)
[article]
Titre : L’Ascension du Christ: le Verbe fait homme pour l’éternité Type de document : texte imprimé Auteurs : Nathalie Requin, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 192 - 208 Langues : Français Catégories : ASCENSION
CHRISTOLOGIE
ESCHATOLOGIE
TRADITIONMots-clés : anthropologie chrétienne Résumé : En théologie trinitaire ou en christologie, on aborde fort peu la question de l’intégration, à l’Ascension, d’une humanité à la fois glorieuse et semblable à la nôtre au sein de la vie trinitaire. Or le fait est sans doute plus inouï encore qu’un Dieu qui se soit fait homme. On désire mettre en évidence l’efficience salvifique de l’Ascension, la mission actuelle du Verbe incarné, et l’incidence que la foi en l’exaltation du Verbe incarné a sur l’annonce, la mystique et l’eschatologie chrétiennes. Note de contenu : Plan de l'article
Pour nous les hommes et pour notre salut
La mission du Verbe après l’Ascension
Le « sublime matérialisme » de la foi des chrétiens
Conclusion
in Nouvelle revue théologique > 139/2 (Avril -Juin 2017) . - p. 192 - 208[article] L’Ascension du Christ: le Verbe fait homme pour l’éternité [texte imprimé] / Nathalie Requin, Auteur . - 2017 . - p. 192 - 208.
Langues : Français
in Nouvelle revue théologique > 139/2 (Avril -Juin 2017) . - p. 192 - 208
Catégories : ASCENSION
CHRISTOLOGIE
ESCHATOLOGIE
TRADITIONMots-clés : anthropologie chrétienne Résumé : En théologie trinitaire ou en christologie, on aborde fort peu la question de l’intégration, à l’Ascension, d’une humanité à la fois glorieuse et semblable à la nôtre au sein de la vie trinitaire. Or le fait est sans doute plus inouï encore qu’un Dieu qui se soit fait homme. On désire mettre en évidence l’efficience salvifique de l’Ascension, la mission actuelle du Verbe incarné, et l’incidence que la foi en l’exaltation du Verbe incarné a sur l’annonce, la mystique et l’eschatologie chrétiennes. Note de contenu : Plan de l'article
Pour nous les hommes et pour notre salut
La mission du Verbe après l’Ascension
Le « sublime matérialisme » de la foi des chrétiens
Conclusion
Chine: vision(s) de la tradition / Nicolas Idier in Études, 4184 (Avril 2013)
[article]
Titre : Chine: vision(s) de la tradition Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicolas Idier, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : 509-520 p. Langues : Français Catégories : TRADITION Mots-clés : Chine Résumé : La Chine contemporaine a avancé par grandes dates, manifestations régulières d'un souci de rupture - de quoi s'interroger sur la prétendue stabilité chinoise, qui fait encore aujourd'hui partie du discours officiel, convenablement relayé par de nombreux auteurs d'ouvrages sur ce pays. En deux temps, se joue le paradoxe de la modernité chinoise, dès ses premières avancées. Le premier temps s'élonge du 11 juin au 21 septembre 1898 : c'est la Réforme des Cent Jours, menée par Kang Youwei et mille trois-cents lettrés qui soumettent à l'Empereur un mémoire demandant la réforme du système politique par l'instauration d'une monarchie constitutionnelle. Kang Youwei (1858-1927) tente avec ardeur de puiser dans l'héritage des Classiques, qu'il redouble d'une forme de messianisme religieux, et fait de la tradition l'horizon de la modernité à laquelle il aspire. La figure de Confucius est la clef de voute de son système. Tout au long du xxe siècle et jusqu'à aujourd'hui où il a donné son nom au soft-power à la chinoise avec la floraison internationale d'instituts éponymes. Le Maître apparaît comme la figure de proue de la tradition, tantôt à déboulonner pour faire avancer plus vite le vaisseau, tantôt à redorer, pour en augmenter les fastes. Le deuxième temps est celui, inlassablement rappelé par l'historiographie chinoise et occidentale, du 4 mai 1919. Mouvement d'étudiants indignés par les clauses du traité de Versailles (où l'on constate aussi à quel point la Grande Guerre fut mondiale, jusqu'en ses résolutions) qui octroient au Japon d'anciennes possessions allemandes en Chine, il est également l'occasion d'une intense effervescence intellectuelle. Aux cris de " À bas la boutique de Confucius ! ", slogan qui sera repris pendant la Révolution culturelle, il manifeste la tension douloureuse de la Chine moderne envers sa culture classique.
Considérant la tradition comme une des formes multiples que prend le rapport que nous entretenons avec le passé, ce que nous en avons hérité et les dispositifs que nous mettons en place pour entretenir ce passé afin de le maintenir au présent, étant animés de la conviction, conviction d'une telle intensité et d'un tel manque de rationalité qu'elle confine à la croyance, que ce passé mérite d'être prolongé, voire renouvelé, la Chine d'aujourd'hui offre ainsi un vrai modèle d'étude. En effet, si tous les pays et toutes les cultures se définissent par rapport à une histoire peu à peu concaténée en " tradition " destinée à contribuer à la définition de leur identité, rares sont ceux qui peuvent tout à la fois prétendre à une histoire culturelle dont on fait volontiers remonter l'horloge au troisième millénaire avant notre ère, et avoir construit leur modernité actuelle en rupture avec la notion même de tradition. Ce texte vise à soulever le paradoxe, en examiner les nuances, mais également à entrevoir des voies d'éclaircissement. Libres à nous de réfléchir ensuite à notre rapport à l'égard de notre propre tradition judéo-chrétienne car, sans verser dans la rhétorique du " détour par la Chine ", il n'est pas difficile de constater que la question du rapport à la tradition est une question universellement partagée par l'ensemble des sociétés humaines, puisqu'il s'agit tout simplement du rapport à l'Histoire - à entendre dans son sens de passé - de toute culture et de l'actualité de ce passé.
Sur un plan plus vaste, on peut d'ailleurs dire que cette conscience de l'Histoire et ce culte de l'Antiquité qui caractérisent la mentalité chinoise, ne visent essentiellement que des valeurs spirituelles d'une permanence abstraite. Quant aux incarnations matérielles du passé (monuments d'architectures, oeuvres d'art, etc.), on ne voit en elles au fond que des expressions transitoires et relatives de ces valeurs ; et l'on considere que leur préservation ou leur destruction ne saurait avoir d'incidences majeures sur le destin de la culture. Aussi la Chine - compte tenu de la richesse et de l'antiquité de sa civilisation - est-elle étonnamment pauvre en ce qui regarde les témoins matériels de son passé, et les bouleversements successifs de son histoire ne sauraient a eux seuls rendre compte de ce dénuement. Dans cette attitude de négligence a l'égard des oeuvres, entre aussi pour une part la robuste confiance que la Chine a toujours eue en ses inépuisables ressources de métamorphose et de création. La manie conservatrice - cette mortelle vitrinification du Musée - (qui atteint aujourd'hui en Occident des proportions pathologiques), ne se développe qu'au moment ou une civilisation devient consciente de son impuissance a inventer le présent.1
L'auteur de ces lignes, Pierre Ryckmans, alias Simon Leys, a tiré sa grande capacité d'analyse du système politique chinois ainsi qu'un regard aiguisé sur notre époque, d'une qualité qui n'est pas si fréquente : tenir les yeux grands ouverts. " Tout doit partir de l'oeil ", répétait aussi Flora Blanchon, historienne de l'art passionnée, fondatrice du Centre de recherche sur l'Extrême-Orient de Paris-Sorbonne, à qui cet article est dédié. La Chine d'aujourd'hui, tout comme celle d'hier, doit être vue pour être comprise, et ce qui n'est pas visible est généralement lisible. Visibilité et lisibilité se complètent pour aborder la question, difficile et actuelle, de la tradition, ce que souligne avec force l'un des derniers ouvrages édités par Flora Blanchon, Le Nouvel âge de Confucius2, où l'on s'informe de ceci, qui n'est pas anodin :
Le temple de Confucius, la maison et la nécropole de la famille de Confucius viennent d'etre inscrits au Patrimoine mondial de l'Unesco. La ville, classée " Ville historique de Chine ", est appelée a devenir un centre de pelerinage et ses responsables se sont pragmatiquement intéressés de pres a l'expérience de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Mis en parallèle avec la citation précédente, serait-ce que la Chine, entrée dans une phase de " mortelle vitrinification du Musée ", est devenue consciente de son impuissance à inventer le présent ?
in Études > 4184 (Avril 2013) . - 509-520 p.[article] Chine: vision(s) de la tradition [texte imprimé] / Nicolas Idier, Auteur . - 2013 . - 509-520 p.
Langues : Français
in Études > 4184 (Avril 2013) . - 509-520 p.
Catégories : TRADITION Mots-clés : Chine Résumé : La Chine contemporaine a avancé par grandes dates, manifestations régulières d'un souci de rupture - de quoi s'interroger sur la prétendue stabilité chinoise, qui fait encore aujourd'hui partie du discours officiel, convenablement relayé par de nombreux auteurs d'ouvrages sur ce pays. En deux temps, se joue le paradoxe de la modernité chinoise, dès ses premières avancées. Le premier temps s'élonge du 11 juin au 21 septembre 1898 : c'est la Réforme des Cent Jours, menée par Kang Youwei et mille trois-cents lettrés qui soumettent à l'Empereur un mémoire demandant la réforme du système politique par l'instauration d'une monarchie constitutionnelle. Kang Youwei (1858-1927) tente avec ardeur de puiser dans l'héritage des Classiques, qu'il redouble d'une forme de messianisme religieux, et fait de la tradition l'horizon de la modernité à laquelle il aspire. La figure de Confucius est la clef de voute de son système. Tout au long du xxe siècle et jusqu'à aujourd'hui où il a donné son nom au soft-power à la chinoise avec la floraison internationale d'instituts éponymes. Le Maître apparaît comme la figure de proue de la tradition, tantôt à déboulonner pour faire avancer plus vite le vaisseau, tantôt à redorer, pour en augmenter les fastes. Le deuxième temps est celui, inlassablement rappelé par l'historiographie chinoise et occidentale, du 4 mai 1919. Mouvement d'étudiants indignés par les clauses du traité de Versailles (où l'on constate aussi à quel point la Grande Guerre fut mondiale, jusqu'en ses résolutions) qui octroient au Japon d'anciennes possessions allemandes en Chine, il est également l'occasion d'une intense effervescence intellectuelle. Aux cris de " À bas la boutique de Confucius ! ", slogan qui sera repris pendant la Révolution culturelle, il manifeste la tension douloureuse de la Chine moderne envers sa culture classique.
Considérant la tradition comme une des formes multiples que prend le rapport que nous entretenons avec le passé, ce que nous en avons hérité et les dispositifs que nous mettons en place pour entretenir ce passé afin de le maintenir au présent, étant animés de la conviction, conviction d'une telle intensité et d'un tel manque de rationalité qu'elle confine à la croyance, que ce passé mérite d'être prolongé, voire renouvelé, la Chine d'aujourd'hui offre ainsi un vrai modèle d'étude. En effet, si tous les pays et toutes les cultures se définissent par rapport à une histoire peu à peu concaténée en " tradition " destinée à contribuer à la définition de leur identité, rares sont ceux qui peuvent tout à la fois prétendre à une histoire culturelle dont on fait volontiers remonter l'horloge au troisième millénaire avant notre ère, et avoir construit leur modernité actuelle en rupture avec la notion même de tradition. Ce texte vise à soulever le paradoxe, en examiner les nuances, mais également à entrevoir des voies d'éclaircissement. Libres à nous de réfléchir ensuite à notre rapport à l'égard de notre propre tradition judéo-chrétienne car, sans verser dans la rhétorique du " détour par la Chine ", il n'est pas difficile de constater que la question du rapport à la tradition est une question universellement partagée par l'ensemble des sociétés humaines, puisqu'il s'agit tout simplement du rapport à l'Histoire - à entendre dans son sens de passé - de toute culture et de l'actualité de ce passé.
Sur un plan plus vaste, on peut d'ailleurs dire que cette conscience de l'Histoire et ce culte de l'Antiquité qui caractérisent la mentalité chinoise, ne visent essentiellement que des valeurs spirituelles d'une permanence abstraite. Quant aux incarnations matérielles du passé (monuments d'architectures, oeuvres d'art, etc.), on ne voit en elles au fond que des expressions transitoires et relatives de ces valeurs ; et l'on considere que leur préservation ou leur destruction ne saurait avoir d'incidences majeures sur le destin de la culture. Aussi la Chine - compte tenu de la richesse et de l'antiquité de sa civilisation - est-elle étonnamment pauvre en ce qui regarde les témoins matériels de son passé, et les bouleversements successifs de son histoire ne sauraient a eux seuls rendre compte de ce dénuement. Dans cette attitude de négligence a l'égard des oeuvres, entre aussi pour une part la robuste confiance que la Chine a toujours eue en ses inépuisables ressources de métamorphose et de création. La manie conservatrice - cette mortelle vitrinification du Musée - (qui atteint aujourd'hui en Occident des proportions pathologiques), ne se développe qu'au moment ou une civilisation devient consciente de son impuissance a inventer le présent.1
L'auteur de ces lignes, Pierre Ryckmans, alias Simon Leys, a tiré sa grande capacité d'analyse du système politique chinois ainsi qu'un regard aiguisé sur notre époque, d'une qualité qui n'est pas si fréquente : tenir les yeux grands ouverts. " Tout doit partir de l'oeil ", répétait aussi Flora Blanchon, historienne de l'art passionnée, fondatrice du Centre de recherche sur l'Extrême-Orient de Paris-Sorbonne, à qui cet article est dédié. La Chine d'aujourd'hui, tout comme celle d'hier, doit être vue pour être comprise, et ce qui n'est pas visible est généralement lisible. Visibilité et lisibilité se complètent pour aborder la question, difficile et actuelle, de la tradition, ce que souligne avec force l'un des derniers ouvrages édités par Flora Blanchon, Le Nouvel âge de Confucius2, où l'on s'informe de ceci, qui n'est pas anodin :
Le temple de Confucius, la maison et la nécropole de la famille de Confucius viennent d'etre inscrits au Patrimoine mondial de l'Unesco. La ville, classée " Ville historique de Chine ", est appelée a devenir un centre de pelerinage et ses responsables se sont pragmatiquement intéressés de pres a l'expérience de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Mis en parallèle avec la citation précédente, serait-ce que la Chine, entrée dans une phase de " mortelle vitrinification du Musée ", est devenue consciente de son impuissance à inventer le présent ?Le rapport entre la Tradition et l’Écriture à la lumière de l’accomplissement selon Dei Verbum / Benoît de BAENST in Nouvelle revue théologique, 139/1 (janvier-mars 2017)
[article]
Titre : Le rapport entre la Tradition et l’Écriture à la lumière de l’accomplissement selon Dei Verbum Type de document : texte imprimé Auteurs : Benoît de BAENST, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 15 - 29 Langues : Français Catégories : ECRITURE SAINTE
REVELATION
TRADITIONMots-clés : Dei Verbum accomplissement Résumé : La Constitution Dei Verbum propose une réelle articulation entre la Tradition et l’Écriture qui a son centre dans la réalité de l’accomplissement de la Révélation en Jésus. Celle-ci se transmet aux apôtres et à leurs successeurs comme double lecture de l’Écriture grâce à l’Esprit Saint. Cette lecture de Dei Verbum permet de mieux saisir le sens de la Tradition comme acte et la place unique que l’Écriture est appelée à avoir en théologie. Note de contenu : Plan de l'article
I - L’accomplissement
II - De la Révélation en Jésus
III - Se transmet
1 - Aux apôtres
2 - Et à leurs successeurs
3 - Fidèles
IV - Comme double lecture de l’Écriture
V - Par la grâce de l’Esprit Saint
VI - Ouverture
En ligne : http://www.cairn.info.sid2nomade-2.grenet.fr/revue-nouvelle-revue-theologique-20 [...]
in Nouvelle revue théologique > 139/1 (janvier-mars 2017) . - p. 15 - 29[article] Le rapport entre la Tradition et l’Écriture à la lumière de l’accomplissement selon Dei Verbum [texte imprimé] / Benoît de BAENST, Auteur . - 2017 . - p. 15 - 29.
Langues : Français
in Nouvelle revue théologique > 139/1 (janvier-mars 2017) . - p. 15 - 29
Catégories : ECRITURE SAINTE
REVELATION
TRADITIONMots-clés : Dei Verbum accomplissement Résumé : La Constitution Dei Verbum propose une réelle articulation entre la Tradition et l’Écriture qui a son centre dans la réalité de l’accomplissement de la Révélation en Jésus. Celle-ci se transmet aux apôtres et à leurs successeurs comme double lecture de l’Écriture grâce à l’Esprit Saint. Cette lecture de Dei Verbum permet de mieux saisir le sens de la Tradition comme acte et la place unique que l’Écriture est appelée à avoir en théologie. Note de contenu : Plan de l'article
I - L’accomplissement
II - De la Révélation en Jésus
III - Se transmet
1 - Aux apôtres
2 - Et à leurs successeurs
3 - Fidèles
IV - Comme double lecture de l’Écriture
V - Par la grâce de l’Esprit Saint
VI - Ouverture
En ligne : http://www.cairn.info.sid2nomade-2.grenet.fr/revue-nouvelle-revue-theologique-20 [...] Religions et traditions populaires
Titre : Religions et traditions populaires : Exposition au musée national des arts et traditions populaires 1979-1980 Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean CUISENIER, Préfacier, etc. Editeur : Paris : Réunion des musées nationaux Année de publication : 1979 Importance : 267 p Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7118-0135-0 Langues : Français Langues originales : Français Catégories : RELIGION POPULAIRE
TRADITIONIndex. décimale : 17E ART. PHOTOS - Églises. Art religieux Religions et traditions populaires : Exposition au musée national des arts et traditions populaires 1979-1980 [texte imprimé] / Jean CUISENIER, Préfacier, etc. . - Paris : Réunion des musées nationaux, 1979 . - 267 p ; 20 cm.
ISBN : 978-2-7118-0135-0
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : RELIGION POPULAIRE
TRADITIONIndex. décimale : 17E ART. PHOTOS - Églises. Art religieux Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 6818 17E Livre Le Perreux sur Marne Magasin Empruntable
DisponibleVocation personnelle et Tradition nationale / Jean LACROIX
Titre : Vocation personnelle et Tradition nationale Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean LACROIX, Auteur Editeur : Paris : Bloud et Gay Année de publication : 1942 Collection : La Nouvelle journée num. 10 Importance : 191 p Format : 20 cm Langues : Français Langues originales : Français Catégories : PHILOSOPHIE
TRADITION
VOCATIONIndex. décimale : 4aK EXISTENTIALISME - MODERNISME - Personnalisme - Mounier Vocation personnelle et Tradition nationale [texte imprimé] / Jean LACROIX, Auteur . - Paris : Bloud et Gay, 1942 . - 191 p ; 20 cm. - (La Nouvelle journée; 10) .
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : PHILOSOPHIE
TRADITION
VOCATIONIndex. décimale : 4aK EXISTENTIALISME - MODERNISME - Personnalisme - Mounier Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 4700 4aK Livre Le Perreux sur Marne Magasin Empruntable
Disponible